Vitamine B17
La vitamine B17 (Amigdaline) :
OUUUIIIIIII… ça va faire grincer des dents certaines Personnes… mais j’assume et m’engage a publier ces articles… !
Alors, ça vous tente… ?
En espérant que vous êtes bien assis et prêt a lire la Vérité…!
Voici 4 articles différents :
Article 1 :
Le plus grand camouflage de l’histoire du cancer
Les chances sont que vous n’ayez probablement jamais entendu parler de la vitamine B17. Puisque la vitamine B17 a été interdite par la FDA.
Un des plus grands types concentrés de vitamine B17 se trouve dans les noyaux d’abricot. Un fruit dont nous ne donnons pas assez de crédit. La graine à proprement parler se trouve dans le noyau dur de l’abricot. L’agent anti-cancéreux contenu dans la vitamine B17 Laetrile est connu sous le nom d’amygdaline.
Pourquoi la B17 n’est pas prescrite par les médecins d’aujourd’hui comme traitement? Si elle est si utile pour éliminer de nombreux cancers? G. Edward Griffin répond: « Le moyen de contrôler le cancer est connu, et il vient de la nature, mais il n’est pas largement accessible au public, car il ne peut pas être breveté, et, par conséquent, n’est pas commercialement attrayant pour l’industrie pharmaceutique. »
La vitamine B17 est composée de cyanure d’hydrogène et de glucose qui est ce qui lui confère ses propriétés anti-cancer. Le benzaldéhyde du glucose et le cyanure travaillent ensemble comme un poison qui cible les cellules cancéreuses. Beaucoup de professionnels de la santé affirment que la B17 est toxique, mais cela est simplement un mythe.
Donc voici où le camouflage intervient
Même si cette vitamine n’a pas été approuvée comme traitement par la FDA, de nombreux médecins, dont un nommé John A. Richardson MD, a commencé à utiliser la vitamine « illégalement » dans le but de traiter les parents dans sa clinique médicale à San Francisco, et cela donnaient des résultats stupéfiants meilleurs que les traitements orthodoxes. Le succès de Richardson dans ces traitements est documenté dans Case Histories: The Richardson Cancer Clinic Experience par John A. Richardson MD et Patricia Irving Griffin, RN. La FDA a été virulente dans son attaque contre la Laetrile. La FDA voit la Laetrile comme une forme non approuvée de traitement et qui est « illégale » d’administrer pour un praticien, par conséquent l’achat de Laetrile n’est pas disponible aux États-Unis. Mais, d’autre part, vous pouvez toujours acheter de l’amygdaline sous forme de supplément. Il existe de nombreux rapports de personnes qui jurent qu’ils ont vaincu le cancer en utilisant la B17.
Sloan-Kettering a été indigné par le camouflage de la B17 par la FDA et l’AMA, et pendant cinq années, des études ont été menées par Sloan sur les avantages anti-cancer de la B17 pour laquelle il a été constaté que:
1 : Elle a amélioré la santé générale des patients atteints de cancer.
2 : Elle a agi à titre préventif du cancer.
3 : Elle arrête la propagation du cancer chez la souris.
4 : La laetrile a inhibé la croissance des tumeurs.
Entendre parler des essais cliniques de la B17 et apprendre comment elle combat les cellules cancéreuses est une chose, mais entendre des personnes qui ont combattu le cancer grâce à la vitamine B17 et qui ont gagné en est une autre.
Si vous vous exercez très peu et vous engagez dans des choix nocifs pour le corps, alors le cancer est à vos trousses. Bien que dans certains cas peu importe combien vous vous exercez ou peu importe ce que vous faites le cancer vous trouve. Mais il n’y a aucune raison de ne pas être proactif tout au long de votre journée et de vous engager dans des choix sains pour votre corps.
Outre la B17 il y a aussi de nombreux autres aliments naturels qui aident à combattre le cancer tels que: Consommer du gel d’aloès, de l’herbe de blé, du sumac, des piments, de la bette à carde, des champignons alimentaires, du curcuma, des légumes et des fruits crus, le lin, du jus d’aloès, des graines de chia et des graines noires mieux connues comme Nigelle cultivée. Il n’est jamais trop tard pour commencer à manger sain et réduire les risques pour votre santé. Vous pouvez même commencer dès maintenant!
Article 2 :
Ce que les médecins ne vous diront jamais : les noyaux d’abricot tuent les cellules cancéreuses sans effets secondaires
Les abricots, les pêches, les prunes ne sont pas seulement des fruits délicieux mais ils pourraient aussi contenir un ingrédient vital pour la prévention du cancer. La vitamine B17, connue sous le nom de Laetrile et Amygdaline, a fait l’objet de recherches qui font penser qu’elle peut aussi bien prévenir le cancer que le guérir. Ce remède est concentré dans le noyau lui-même. Et pourtant, malheureusement, la plupart d’entre nous jetons ce noyau en le prenant pour quelque chose d’inutile et immangeable. Que diriez-vous si je vous disais la vérité au sujet des noyaux d’abricots, à savoir qu’ils peuvent détruire les cellules cancéreuses ?
Ces noyaux peuvent en effet être un excellent moyen prophylactique contre le cancer. Comment est-ce possible ? Dans le livre « World without cancer » (Monde sans cancer), écrit par Edward Griffin, il a décrit la découverte, qui date de plus de trente ans. Dans son livre, il parle de cette découverte qui peut guérir le cancer et de la façon de le faire. Cependant, il mentionne également que cette découverte géniale a purement et simplement été enterrée par ceux qui tiennent à tirer profit de la maladie. Par ailleurs, Edward Griffin explique que le cancer présente souvent un métabolisme perturbé dans le corps, et que le cancer est d’origine métabolique par essence. Le métabolisme du corps est perturbé lorsque l’équilibre de vitamines et de minéraux est détruit. Votre corps commence à être affamé sans les vitamines et minéraux nécessaires qui sont vitaux pour un processus interne normal, ce qui alors déclenche les diverses défaillances de notre mécanisme endommagé. C’est le même principe qui s’applique pour toutes les autres maladies qui surviennent dans le corps.
Pourquoi cette vérité au sujet des noyaux d’abricots est-elle dissimulée ?
L’industrie du cancer gagne 200 milliards de dollars par an, ce n’est donc pas étonnant que les méthodes alternatives efficaces soient cachées au public. Comme l’explique Edward Griffin, le médicament pour guérir et prévenir le cancer existe depuis des siècles, et il ne demande aucune intervention humaine pour le fabriquer, mais malheureusement, cette découverte est occultée.
Alors, en quoi les noyaux d’abricot sont-ils un remède pour guérir le cancer ?
Les noyaux d’abricot contiennent une plus grande source d’amygdaline (appelée vitamine B17) que d’autres sources végétales. Cet ingrédient possède une propriété inestimable pour le corps humain. Il cible et tue les cellules cancéreuses tout en renforçant le système immunitaire, ce qui le protège contre la réapparition du cancer. La recherche a démontré qu’une tribu himalayenne connue sous le nom de « Hunza » n’a jamais eu un cas de cancer en raison de leur régime alimentaire naturel qui est riche en abricots. Leur alimentation contient 200 fois plus de vitamine B17 qu’un régime occidental. Dans la culture Hunza, le noyau d’abricot est considéré comme l’aliment le plus précieux.
En 1952, un biochimiste persévérant, le Dr Ernst T. Krebs a découvert une nouvelle vitamine à laquelle il a attribué le numéro B17 et appelée « Laetrile ». Sa recherche l’a conduit à l’amygdaline, qu’il a trouvée la plus concentrée dans les noyaux d’abricots.
L’amygdaline contient 4 substances : 2 sont du glucose ; 1 est du benzaldéhide, et l’autre est le cyanure. Les gens sont effrayés lorsque le mot « cyanure » est mentionné. Cependant, vous devez savoir qu’en chimie, les éléments individuels d’un composé ne sont actifs que lorsqu’ils sont isolés. Lorsque B17 est introduit dans le corps, il est décomposé par l’enzyme Rhodanese. Le rhodanese sépare l’acide cyanhydrique du Benzaldéhyde en 2 produits, le Thiocyanate et l’acide benzoïque qui sont bénéfiques pour nourrir les cellules saines et produisent le milieu métabolique pour la vitamine B12. Tout excès de l’un de ces sous-produits est évacué du corps de façon naturelle par l’urine. La vitamine B17 passe dans votre corps et n’y reste pas plus de 80 minutes puisque le Rhodanese le décompose. (En fait, il a été prouvé que le sucre est 20 fois plus toxique que la B17).
Lorsque la B17 vient en contact avec les cellules cancéreuses, il n’y a plus de Rhodanese pour la décomposer et la neutraliser, mais au contraire, seule l’enzyme Bêta-Glucosidase est présente en très grandes quantités. Lorsque la B17 et la Bêta-Glucosidase entrent en contact, une réaction chimique se produit et l’acide cyanhydrique et le benzaldéhyde se combinent de manière synergique pour produire un poison qui détruit et tue les cellules cancéreuses. Ce processus est connu comme « la toxicité sélective ». Et étant donné que les cellules cancéreuses ne contiennent pas de Rhodanese, le cyanure et le benzaldéhyde fonctionnent sur le mode de toxicité sélective en tuant seulement les cellules cancéreuses.
Malheureusement, le Dr Krebs n’a pas pu faire breveter sa découverte puisque le laetrile n’est pas fabriqué chimiquement par des personnes mais dérivé de la nature. Malgré une croyance populaire que le cancer est principalement causé par le tabagisme, ou la constante lumière du soleil ou même encore par les produits chimiques dans nos aliments (qui bien sûr contribuent à la mauvaise santé), le Dr Krebs, au long de ses recherches tenaces, était convaincu que le cancer est une simple maladie de déficience en vitamine B17. Malgré la preuve tangible de son efficacité à guérir et prévenir le cancer, la FDA a banni le laetrile en 1971. Ceci n’a pas été une surprise car la découverte du Dr Krebs constituait une sérieuse alerte financière à l’industrie du cancer.
Le livre écrit par Edward Griffin fournit également des recommandations pour l’utilisation des noyaux d’abricot.
– Pour la prévention, il est recommandé de prendre environ 5 à 7 noyaux d’abricot par jour. Il suffit de les casser et de consommer l’amande qui s’y trouve. On trouve aussi des amandes de noyaux d’abricots sur internet.
– Pour un cancer déjà déclaré, utilisez 2 ou 3 fois cette quantité.
La vitamine B17 est soluble dans l’eau et n’est pas toxique. Cependant, quelques personnes peuvent avoir la nausée si elles prennent trop de noyaux en même temps.
Et assurez-vous d’éviter le sucre lorsque vous voulez guérir du cancer, car les cellules cancéreuses se nourrissent de la fermentation du sucre (glucose) pour leur énergie à la place de l’oxygène.
Article 3 :L’Histoire de la Vitamine B17 (Laetrile)
Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils (le Dr E.T. Krebs, Jr.) ont publié un document intitulé « La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer », dans le Medical Record, de New York. Dans les années qui ont suivi, l’équipe formée par le père et le fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter d’une carence en vitamines. Dans le début des années 1950, ils émirent l’hypothèse que le cancer est causé par l’absence d’un composé alimentaire essentiel, manquant dans l’alimentation moderne de l’homme, identifié comme faisant partie de la famille des nitrilosides, qui se trouve dans plus de 1200 plantes comestibles. Ils apprirent, l’existence du royaume des Hunzas, dans les montagnes Himalayennes situées au nord du Pakistan, et où il était dit que ce peuple vivait « sans cancer ».
Les Docteurs Krebs savaient qu’ils mangeaient de grandes quantités d’abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer … jusqu’à ce qu’ils ont apprennent que les Hunzakuts mangent également les semences contenues dans les noyaux d’abricot, qui sont riches en nitrilosides ! Les nitrilosides sont particulièrement répandues dans les graines d’abricots, les pêches, les pommes, le millet, les fèves germées, le sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, y compris les amandes amères. Les Dr. Krebs ont pu extraire certains glycosides des plantes qui contenaient les nitrolosides, et finalement, ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides, en vue d’une utilisation clinique. Il nomma ceci « Laetrile ».
Il a fallu plusieurs années, et la réalité des essais cliniques effectués à travers le monde, avant qu’un modèle ne soit proposé afin de rationaliser l’utilité de la Laetrile dans la prévention, ainsi que pour le traitement du cancer, après tout ce temps, le nom de « vitamine B17 » fut reçu. Les Hunzakuts consomment entre 100-200 fois plus de B17 dans leur alimentation, que l’Américain moyen, en raison principalement du fait de manger les graines d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, l’argent n’existe pas, au Hunza. La richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. Et la nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. Les équipes visiteuses de médecins ont trouvé les Hunzacuts exempts de cancer. L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza, était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il a indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».
Mais pourquoi n’avez-vous pas entendu parler de la vitamine B17 ? Cela semble si simple ! Eh bien, la vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia Médicale a monté avec grand succès, des campagnes «effrayantes», basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure. Ceci est manifestement faux. Des études montrent que la vitamine B17 est inoffensive pour les tissus sains.
Voici pourquoi : chaque molécule de B17 contient une unité de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde et deux unités de glucose (sucre) bien verrouillés ensemble. Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut d’abord nécessairement déverrouiller la molécule qui le libérera, une astuce qui ne peut être effectuée que par une enzyme appelée bêta-glucosidase, qui n’est présente partout dans le corps humain, qu’en quantités infimes, mais par contre, en grande quantité dans un seul endroit : les cellules cancéreuses.
Ainsi, le cyanure d’hydrogène n’est déverrouillé que sur le site où se trouve le cancer, et ce, avec des résultats radicaux, qui deviennent tout à fait dévastateurs pour les cellules cancéreuses, puisque l’unité de benzaldéhyde se déverrouille en même temps. Les cellules cancéreuses obtiennent un double coup, à la fois de cyanure et de benzaldeyhde ! Le benzaldéhyde est un poison mortel en lui-même, mais quand il fait équipe avec le cyanure, le résultat en fait un poison 100 fois plus mortel que lorsqu’il agit seul. Les cellules cancéreuses sont littéralement oblitérées !
Mais tout ceci n’est-il pas sans danger pour le reste des cellules du corps ? Un autre enzyme, le rhodanese, toujours présent en quantités beaucoup plus imortantes que l’enzyme de déverrouillage beta-glucosidase dans les tissus sains, a la capacité de dégrader entièrement, à la fois le cyanure, et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un tueur de douleur semblable à l’aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanese du tout, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.
Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales. Ce sont de mauvaises nouvelles pour l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots ne sont pas chères … vraiment pas chères … pas aussi coûteuses que leur dernier cocktail médicamenteux de chimiothérapie.
‘‘J’ôtais les pépins et jetais les pommes. Maman récupérait les pommes de la corbeille et cuisinait des tartes’’.
~ Jason Vale
Mon ami, Jason Vale, a écopé d’une condamnation à mort par ses médecins, dans le milieu des années 1990, lorsqu’on a découvert qu’il avait un cancer en phase « terminale ». Il a appris, grâce à des recherches approfondies, que les gens qui avaient un cancer, découvraient des propriétés curatives dans les pépins de pommes et les noyaux d’abricots, lesquels, comme je l’ai mentionné ci-dessus, contiennent de grandes quantités de vitamine B17.
Jason a immédiatement commencé à se sentir mieux, en mangeant des pépins de pommes et des noyaux d’abricots, dans le cadre de son régime alimentaire quotidien. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a littéralement disparu. Lorsque l’histoire « Extraordinaire » de Jason fut diffusée à la télévision nationale, dans le milieu des années 1990, cela à provoqué une audience si grande que le même reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante.
L’enthousiasme des spectateurs fut si grand que Jason se retrouva inondé d’appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le pays. Au cours des années suivantes, Jason a littéralement aidé des milliers de gens, à traiter avec succès leur cancer, en consommant des semences de noyaux d’abricot.
Jason fut victime d’une opération coup de poing de « Gestapo », décidée par la FDA, il a été condamné le 18 juin 2004, à soixante-trois mois de prison et trois ans de liberté surveillée, par un tribunal de district des États-Unis dans le District Est de New York. Son crime ? La vente de graines d’abricot sur son site web, et de dire aux gens la VERITE sur leurs propriétés curatives. Bienvenue au « pays de la liberté et dans la patrie des braves ».
Après avoir purgé près de quatre ans de prison, Jason a été libéré de la maison d’arrêt au début de 2008. Le site web de Jason est www.ApricotsfromGod.info.
Ty Bollinger
Remarque importante: Je ne suis pas un médecin. Tout le contenu de cette lettre d’information est un commentaire ou une opinion et est protégé en vertu des lois sur la liberté d’expression dans tout le monde civilisé. Les informations contenues dans ce document sont destinées à des fins éducatives seulement. Il n’est pas conçu comme un substitut pour le diagnostic, le traitement ou les conseils d’un professionnel agréé qualifié. Les faits présentés sur ce site et dans le livre sont offerts à titre d’information uniquement, ce ne sont pas des conseils médicaux, et en aucune façon on ne devrait considérer que je suis pratiquant en médecine. Un effort délibéré a été fait pour que les informations présentes soient à la fois exactes et véridiques. Cependant, je n’assume aucune responsabilité pour les éventuelles inexactitudes dans mon matériel de source, pas plus que je assume la responsabilité de la façon dont ce matériel est utilisé. Toute déclaration concernant les traitements alternatifs pour le cancer n’a pas été évaluée par la FDA.
Article 4 :
Je sais que vous êtes une bande de petits curieux, comme moi, aussi aujourd’hui je vous oriente vers cette vitamine B17 dont on parle beaucoup et qui a guéri de nombreux cancers depuis des dizaines d’années à l’insu de tous, bien entendu, nous n’avons jamais le droit de savoir.
Ni je cautionne ni je désapprouve, ce qui est sûr c’est qu’on nous cache beaucoup de choses au nom du Saint profit, comme d’hab. Mais comme j’ai de la sympathie pour tout ce qui ne rapporte rien à personne, je vous soumets ces textes, trés longs mais ça en vaut la peine.
La vitamine B17
Dans son article intitulé » Les charlatans au supplice « , publié dans le journal britannique Observer, John Diamond a sommairement rejeté ce qui apparaît comme le plus célèbre des traitements anticancéreux naturels et éprouvés connus de l’homme : l’extrait naturel de noyau d’abricot, aussi connu sous le nom de vitamine B17. » Les adeptes du laetrile (vitamine B17) et de l’Essiac, en particulier, ont fait tant de bruit autour de leurs guérisons miraculeuses que ces deux méthodes ont fait l’objet de nombreuses recherches et se sont avérées parfaitement inefficaces ».19
Maintenant, nous pouvons nous demander si ce ne serait pas la faute d’une âme bienveillante mais malavisée qui a envoyé à John Diamond un essai sur les bienfaits de la vitamine B17 mélangée à de l’eau de noix qui l’a poussé à rejeter si catégoriquement la vitamine B17.
Ou bien John faisait-il réellement confiance aux rapports de recherche conventionnels qu’il avait consultés à propos de cette vitamine ? Fait intéressant, le Dr Dean Burk, l’ancien président du Département de Cytochimie de l’Institut National du Cancer et l’un des cofondateurs de cette célèbre institution médicale américaine, avait travaillé personnellement sur la vitamine B17. Il a décrit cette substance en des termes bien différents : » Lorsque nous ajoutons du laetrile à une culture de cellules cancéreuses sous le microscope « , a déclaré le Dr Burk, » à condition qu’.il y ait aussi l’enzyme glucosidase, nous voyons les cellules cancéreuses mourir comme des mouches « .20 (La glucosidase est l’enzyme figurant en grande quantité dans les cellules cancéreuses, qui déclenche le mécanisme unique de destruction du cancer que l’on trouve dans la vitamine B17. Vous trouverez une excellente analyse clinique de ce mécanisme dans 577 Metabolic Therapy – In the Prévention and Control of Cancer [La Thérapie métabolique par la vitamine B17 – Dans la prévention et la maîtrise du cancer], un bref résumé des recherches réalisées sur cette vitamine, dont de nombreuses évaluations cliniques.21 Le Dr Buck a en outre affirmé que des preuves de l’efficacité du laetrile avaient été observées dans au moins cinq institutions indépendantes de trois pays très éloignés les uns des autres.22
Alors, qui devons-nous croire dans cette affaire ? Diamond ou Burk ? En regardant où Diamond a pu obtenir ses » informations » sur les recherches relatives à la vitamine B17, nous voyons apparaître plus distinctement les vilains traits de la recherche anti-cancéreuse conventionnelle.
C’est la faute de l’argent
Le cancer est un marché juteux et les déclarations sur les traitements qui rapportent de l’argent aux compagnies pharmaceutiques et, inversement, sur ceux qui ne leur en rapportent pas ne sont jamais neutres. Le Dr Ralph Moss a été Directeur adjoint des affaires publiques dans l’institution de recherche sur le cancer la plus célèbre d’Amérique, le Mémorial Sloan Kettering à Manhattan. Il sait tout de l’industrie du cancer. Lisez ce qu’il avait à dire en avril 1994 lors d’un entretien avec Laura Lee et jugez par vous-même de la qualité des preuves contre l’efficacité de la vitamine B17 :
o Dr Moss : » Peu de temps après avoir pris mes fonctions [à l’Institut du Cancer Sloan-Kettering], j’ai rendu visite au vieux scientifique japonais Kanematsu Sugiura, qui m’a étonné en me disant qu’il travaillait sur le laetrile (vitamine B17). À l’époque, c’était la chose la plus controversée en matière de cancer. Nous autres, aux Affaires publiques, nous faisions paraître des déclarations affirmant que le laetrile ne servait à rien, que c’était du charlatanisme et que les gens ne devaient pas abandonner les thérapies qui avaient fait leurs preuves. J’étais étonné que notre scientifique le plus émérite s’embarrasse d’une telle chose et je lui ai dit, ‘Pourquoi faites-vous cela si ça ne marche pas ? Il a pris ses livres de laboratoire et m’a montré que, en réalité, le laetrile avait un effet spectaculaire pour stopper la propagation du cancer. «
o Laura Lee : » Donc, c’est un fait avéré, le laetrile peut avoir cet effet positif ? «
o Moss : » Nous étions en train de le découvrir et pourtant nous autres, aux Affaires publiques, recevions l’ordre de publier des déclarations en opposition totale avec ce que nous découvrions sur le plan scientifique.23 «
Incapable de garder le silence sur ces informations, le Dr Moss a par la suite convoqué une conférence de presse et, devant une batterie de journalistes et de cameramen, a accusé les responsables de Sloan-Kettering d’avoir massivement tenté d’étouffer l’affaire. Il a fourni tous les documents justificatifs et cité tous les noms qu’il fallait pour attester ses dires. Le lendemain, il a été mis dehors pour » ne pas s’être acquitté de ses responsabilités professionnelles les plus fondamentales « .24
De même, dans son livre, Worid Without Cancer [Un Monde sans cancer], le chercheur de l’industrie du cancer G. Edward Griffin note : » Toutes les études sur le laetrile ont été entachées du même genre de manque d’à propos scientifique, de parti pris et de tromperie absolue… Certaines de ces études reconnaissaient ouvertement les preuves d’un effet anticancéreux mais s’empressaient d’attribuer cet effet à d’autres causes. Certaines études ne portaient que sur la toxicité, ce qui signifie qu’elles n’essayaient pas de savoir si le laetrile était efficace mais simplement de déterminer quelle dose de laetrile suffisait à tuer le patient. «
Aujourd’hui, les » preuves » étayant l’affirmation de John Diamond selon laquelle la vitamine B17 est inutile et même dangereuse abondent dans toutes les grandes institutions sur le cancer. Et pour cause ! Nous sommes dans le temple des marchands, ne l’oubliez pas !
Comme le dit Pat Rattigan, auteur de The Cancer Business [Le Marché du cancer] : » La menace que représentent pour le marché du cancer les thérapies efficaces a été prise très au sérieux dès le départ. Dès les années 1940, l’agence chargée des intérêts du marché avait 300 000 noms de » charlatans » sur ses dossiers. La vitamine B17, constituant une menace unique en raison de sa simplicité, s’est attirée davantage de foudres que tous les autres traitements réunis : rapports expérimentaux frauduleux ; piquets porteurs de bannière payés à l’extérieur des cliniques ; jurys truqués ; critiques virulentes de personnes dans les journaux ; licenciement des employés hérétiques, etc. La FDA (Office de contrôle pharmaceutique et alimentaire des États-Unis), orchestrant l’attaque, a envoyé 10 000 affiches et des centaines de milliers de brochures mettant en garde contre les dangers de la toxicité de cette substance.
Auparavant, un Bureau de comptabilité du Congrès avait découvert que 350 employés de la FDA détenaient des actions ou avaient refusé de déclarer des intérêts dans l’industrie pharmaceutique. » 26
La FDA publia un article sur le décès d’une petite fille de onze mois, apparemment suite à un empoisonnement au cyanure après avoir soi-disant avalé les comprimés de vitamine B17 de son père. Le Dr Harold Manner, cancérologue et ardent défenseur de la vitamine B17, reprend l’article : » Je donnais une conférence à Buffalo, à New York… après de tonitruantes déclarations de ma part, un homme s’est levé et m’a dit, Dr Manner, comment diable pouvez-vous faire de telles déclarations alors que la FDA en fait de toutes autres ? J’ai répété que les déclarations de la FDA étaient des mensonges. Il m’a répondu : regardez cette petite fille dans la partie nord de l’état de New York ; elle a pris les comprimés de laetrile de son père et en est morte, empoisonnée au cyanure. A ce moment précis, une petite femme s’est levée : « Dr Manner, laissez-moi répondre à cette question. Je pense que j’en ai le droit parce que je suis la maman de cette petite fille. Mon bébé n’a jamais touché les comprimés de laetrile de son père. Le médecin, sachant que son papa prenait du laetrile, a inscrit » empoisonnement possible au cyanure « . À l’hôpital, ils ont utilisé un antidote et c’est l’antidote qui a tué mon enfant. Et pourtant ils continueront à répéter cette affirmation, même s’ils savent que c’est un mensonge. »27
Les histoires alarmistes se focalisent toujours sur les minuscules quantités de cyanure naturellement présentes dans la vitamine B17. Mais nulle part ces histoires ne mentionnent le merveilleux mécanisme gouvernant la libération de ce cyanure. Aucun mal n’est causé à la personne consommant cette vitamine (si tel était le cas, nous avons consommé un nombre suffisant d’abricots, de pommes, de pêches, de cerises, etc… contenant de la vitamine B17 pour n’être plus de ce monde depuis longtemps). Le cyanure n’est libéré que lorsque des cellules cancéreuses sont reconnues de par leur haute teneur en glucosidase. Le cyanure de la vitamine B17 attaque spécifiquement les cellules cancéreuses. En l’absence d’importantes quantités de glucosidase, il n’y aura pas de libération de cyanure.
Rassurez-vous, il n’existe aucune preuve indiquant que la vitamine B17 peut tuer – sauf, bien sûr si l’on se fait accidentellement écraser sous une palette d’abricots !
Un embarras supplémentaire pour l’orthodoxie du cancer doit certainement résider dans les recherches effectuées à L’Imperial Collège de Londres, où des chercheurs tentent de trouver des moyens d’utiliser le cyanure végétal naturel pour attaquer spécifiquement les tumeurs intestinales humaines.
L’idée a surgi après avoir étudié le schéma de la libération spécifique de cyanure dans l’amande et le manioc qui les protège des attaques des insectes. Une autre de ces merveilles naturelles, cherchant simplement à se faire entendre, est peut-être enfin écoutée par l’orthodoxie ?28
A notre grand regret, en affirmant le bien-fondé de la réputation » louche » conférée à la thérapie métabolique de la vitamine B17, nous nous rendons compte qu’elle est totalement injustifiée et que, en outre, ce traitement a fait l’objet d’une attaque continuelle de la part de l’industrie conventionnelle du cancer – attaque qui a pris différentes formes au cours de ces 40 dernières années.
Comme indiqué plus haut, les dépenses mondiales relatives aux traitements conventionnels s’élevant à plusieurs centaines de milliards par an, un traitement anticancéreux naturel de n’importe quelle sorte fait office d’intrus malvenu. Citons de nouveau le Dr Moss, dans son entretien d’avril 1984 avec Laura Lee, cette fois-ci à propos de l’argent impliqué dans les traitements conventionnels :
o Moss : » Près de 630 000 personnes meurent chaque année du cancer aux États-Unis et c’est vraiment une épidémie. Nous avons là une industrie incroyable. Toute personne atteinte d’un cancer et en train d’en mourir va être traitée et ces traitements sont extrêmement chers. La chimiothérapie est évaluée à des dizaines de milliers de dollars, parfois même à des centaines de milliers de dollars. Les greffes de moelle osseuse, qui représentent une autre façon de dispenser une chimiothérapie, ou les rayons peuvent s’élever à près de 150 000 dollars par personne et sont rarement efficaces. Ces traitements tuent 25 pour cent des patients. «
o Lee : » Pourquoi continuer alors ? «
o Moss : » À cause de l’argent, car les sommes en jeu sont colossales » 29
Lorsque nous saisissons l’ampleur des sommes d’argent en jeu, nous pouvons commencer à comprendre le désir interne de maintenir un processus » de création de preuves » pour soutenir les traitements conventionnels. Les traitements et la recherche conventionnels donnent carte blanche à l’inflation. Manifestement, les parties intéressées se sont alliées dans un processus honteux de » création de preuves » anti-vitamine B17 qui, à son tour, a sûrement conduit au décès précoce et inutile de milliers de personnes. En ce qui concerne le rejet de la vitamine B17 manifesté par John Diamond, il n’a pas écrit ses commentaires en guise d’insulte délibérée. Ce n’était pas lui le menteur dans cet enchaînement d’événements. Il voulait désespérément vivre. Son simple paragraphe lu par des milliers de personnes n’a été qu’un autre exemple de la réaction en chaîne préjudiciable du discours des marchands. Leur discours sur la thérapie métabolique par la vitamine B17 a donné lieu à une grave injustice sur ce traitement, et par conséquent pour tous ceux que l’on a convaincu de penser ainsi.
Examinons maintenant quelques témoignages de ceux qui ont résisté à cette propagande.
o Phillip
Phillip a 64 ans. En avril 2001, on diagnostiquait chez lui une tumeur du poumon inopérable. Le cancérologue lui montra les radiographies qui confirmaient les » ombres » tant redoutées.
On lui dit de rentrer chez lui, de profiter de la vie autant que possible et de mettre ses affaires en ordre. Une semaine plus tard, lors d’une conversation inopinée au travail, Phillip entendit parler de la vitamine B17. Phillip commença immédiatement à prendre un mélange de vitamine B17 et de vitamine C. Quatre mois plus tard, Phillip retourna à l’hôpital pour un bilan, où l’on prit une nouvelle série de radios.
Les ombres avaient entièrement disparu. Phillip explique : » Je sais ce que j’ai vu et le docteur ne pouvait pas l’expliquer. Je poursuis mon régime à base de vitamine B17 et je mange une dizaine de noyaux par jour. »30 Phillip accorde désormais une très grande attention à son alimentation et pense que ce que nous faisons absorber à notre corps peut avoir une incidence spectaculaire sur le plan thérapeutique.
L’importance de la nutrition
Citons encore une fois John Diamond, à propos d’un » dingue » qui parlait d’un régime magique : « Un jour, j’attendais mon tour pour les rayons et j’ai parlé du ridicule d’un régime sur lequel j’avais lu des choses. La radiologue était d’accord avec moi et m’a raconté que lorsqu’elle avait commencé à travailler à l’hôpital il y avait un » dingue » qui, ayant refusé les rayons, venait et se répandait en injures contre ceux qui se trouvaient dans la salle d’attente des rayons, leur disant qu’ils devraient abandonner les rayons et suivre son régime magique.
« Criminel », ai-je dit. « Vous l’avez mis dehors, bien sûr ? « Eh bien, oui » a-t-elle répondu, « nous l’avons mis dehors régulièrement. Le seul truc, c’est qu’il a bel et bien survécu pendant des années et que son cancer a bel et bien disparu ».
Ce qui tend seulement à prouver… eh bien pas grand-chose, en réalité, mais j’ai pensé que je devais en parier au nom du fair-play ».31
Maintenant, si ce » dingue » n’était qu’un cas isolé de guérison grâce à l’alimentation, sa guérison ne constituait bien sûr pas une preuve. Mais avec la thérapie métabolique par la vitamine B17, nous observons des résultats formidables jour après jour. Continuons au nom du fair-play…
o William
On a diagnostiqué chez William une tumeur à l’œsophage. Il ne pouvait plus absorber que de la nourriture liquide. Il avait lu un article sur la vitamine B17 un an auparavant et l’avait conservé.
William commença à prendre de la vitamine B17 peu de temps après le diagnostic. Au bout de trois semaines, il avalait bien plus facilement la nourriture et au bout d’environ sept semaines son médecin lui dit que s’il pouvait mieux avaler la nourriture c’était tout simplement parce que la tumeur diminuait.
William explique : » L’opération destinée à enlever la tumeur a été annulée et j’attends encore les résultats du dernier examen. Je me porte comme un charme. Je fais attention à ce que je mange et je remercie vraiment Dieu d’avoir créé la vitamine B 17. Il est temps que le NHS [Département national de santé] reconnaisse cette vitamine comme une alternative aux traitements conventionnels. Je pense que de l’argent dépensé pour de la vitamine B17 est de l’argent bien dépensé.32 «
Que mangeons-nous ?
Il est intéressant de noter qu’il existe aujourd’hui des peuples chez qui le cancer est inexistant. Les Abkhasiens, les Azerbaïdjanais, les Hunzukut, les Esquimaux et les habitants du Karakorum s’alimentent tous de produits riches en nitriloside ou vitamine B17. Leur alimentation se compose de sarrasin, de pois, de fèves, de germes de luzerne, de navets, de laitue, de repousses de légumes secs ou de graines, d’abricots et de leurs graines et de diverses baies. Leur alimentation peut leur apporter jusqu’à 250-3 000 mg de nitroloside par jour. Le père fondateur des recherches sur la vitamine B17, Emst T. Krebs J.-R., a étudié les habitudes alimentaires de ces tribus. Krebs a déclaré : » En examinant l’alimentation de ces peuples, nous avons découvert que le noyau d’abricot était considéré comme un mets raffiné et que chacune des parties de l’abricot était utilisée. «
L’alimentation occidentale moyenne, avec ses aliments raffinés et sans fibres, apporte moins de 2 mg de nitriloside par jour. On a en outre noté que les indigènes de ces tribus qui s’installaient dans des zones » civilisées » et modifiaient leur alimentation en conséquence étaient susceptibles d’être atteints de cancer, à un taux similaire au taux occidental habituel.
Les bonnes substances
Dans son livre, Préface to Cancer : Nature, Cause and Cure [Préface au cancer : nature, cause et guérison], le Dr Alexander Berglas déclare à propos du taux de cancer : » La civilisation est, en termes de cancer, un mastodonte que l’on ne peut pas arrêter… C’est la nature et l’essence de la civilisation industrialisée d’être toxique dans tous ses aspects… Nous sommes confrontés à une lugubre perspective où l’avancée du cancer et de la civilisation vont de pair. » 35 Le corps humain a une faculté étonnante de récupération, si nous prenons correctement soin de lui et si nous lui fournissons les substances adéquates à une réparation. Travailler avec des traitements non toxiques et physiologiquement favorables ne peut que jouer en notre faveur. Il suffit de regarder les effets secondaires de la vitamine B17 tels que les décrit G. Edward Griffin dans Worid Without Cancer [Un monde sans cancer] : » Les effets secondaires de la vitamine B17 incluent un plus gros appétit, une prise de poids, une baisse de la tension, une hausse de l’hémoglobine, un nombre plus élevé de globules rouges, la disparition ou une nette diminution des douleurs sans narcotiques. Par ailleurs, la vitamine B17 renforce la résistance du corps à d’autres maladies. C’est une substance naturelle présente dans les aliments, elle est compatible avec l’expérience biologique humaine et détruit les cellules cancéreuses tout en nourrissant les cellules non cancéreuses » 36
Comparez cela aux effets secondaires de la chimiothérapie et des rayons : vertiges, dépigmentation de la peau, nausées, diarrhées, chute des cheveux, perte de l’appétit, dysfonctionnements organiques, hémorragies internes, etc..
Combien de temps faudra-t-il attendre avant que nous jetions sur ces traitements le même regard rétrospectif que celui que nous jetons aujourd’hui sur les saignées et les infusions à l’ammoniaque infligées au roi Charles II ?
Même si l’ablation chirurgicale des tissus cancéreux peut souvent sauver la vie, pourrait-il y avoir un traitement plus inhumain au XXIe siècle que la thérapie anticancéreuse conventionnelle ?
o Flora
On a diagnostiqué chez Flora un cancer de l’intestin en phase 4 en 1999. » Avant l’opération, on m’a fait une chimiothérapie, qui a été dévastatrice. A la fin de la séance, je tenais à peine debout. Ensuite, on m’a enlevé la tumeur de l’intestin. On m’a dit que le cancer avait gagné le foie. On m’a proposé une nouvelle chimiothérapie mais j’ai refusé. Je suis allée au Middiesex Hospital où j’ai reçu cinq séances de laser pour essayer de contenir le cancer du foie, suivie d’une autre chimiothérapie. Après avoir tenté cinq fois de contenir le cancer, ils m’ont dit qu’il grossissait de nouveau. J’ai alors entamé un régime biologique et suis allée à la Dove Clinic pour un traitement intensif à la vitamine C enrichie d’autres suppléments. C’est là-bas que j’ai entendu parler de la vitamine B17. Je l’ai ajoutée à mon régime. Au bout d’un certain temps, mon cancer du foie a complètement disparu. On est maintenant en février 2002 et cela fait un an que je suis débarrassée du cancer. Je poursuis mon régime biologique et je mange environ 50 noyaux d’abricot par jour. J’ai’64 ans, j’ai repris le travail et je me sens bien. De tels traitements devraient au moins être portés à la connaissance des patients par le NHS. 37 » II y a littéralement des milliers de personnes qui peuvent témoigner des vertus pharmacologiques et salvatrices de la vitamine B 17 et du régime nutritionnel qui l’accompagne. Et l’on peut dire de même de la vitamine C.
Intéressant à savoir : Les Hunzas sont de gros mangeurs d’abricots dont ils mangent tout, la pulpe, et l’amande riche en Vit B17. Et on sait que ce peuple ignore la maladie et entre autres le cancer. Je savais depuis trés longtemps que ce peuple vivait au printemps avec les provisions d’abricots de l’année d’avant. Relation de cause à effet ?
Il parait que pour bien l’assimiler il faut également l’associer avec de la vitamine C, du Zinc, des vitamines B, de la vitamine A, du magnésium et du selenium. Donc un complément vitaminique classique devrait faire l’affaire.
Mais on trouve la vitamine B17 dans notre alimentation traditionnelle : Les céréales complètes, le jaune d’oeuf, la levure de bière, les pepins de pomme, de poire, les haricots beurre, les noix de cajou, les amandes, la canneberge, les graines de lin, les pois chiches, le millet, les groseilles, les myrtilles, les framboises, les lentilles, les haricots mungo, les noyaux de pêche, de prunes, les épinards, les choux, etc…. Mais en trés grande quantité dans les noyaux d’abricots.
C’est une vitamine hydrosoluble, qui établit la synthèse de l’hémoglobine, des acides gras et des acides aminés ; Elle est indispensable pour l’utilisation des autres vitamines du groupe B. La carence de cette vitamine peut provoquer de la fatigue, de l’insomnie, une peau sèche, un manque d’appétit, des douleurs musculaires .
C’est un peu long tout ça, mais il s’agit du cancer tout de même, ça mérite quelques instants de votre attention. N’attendez pas que ce soit nos instances qui nous en parlent.
Alors, ça secoue… et ça fait un peu réfléchir… vous ne trouvez pas